Femme de 35 ans, avec une maladie chronique depuis quelques années. Est en soin et a parcouru déjà pas mal de centres de soin, hôpitaux, centres de rééducation. En recherche de tout ce qui peut l’aider et qui ne soit pas médicamenteux : pour gérer la douleur, pour pallier à des déficits de force, pour trouver des intelligences fonctionnelles non développées, des mobilités améliorant sa relation avec le monde environnant, pouvoir continuer à travailler, rester en vitalité.
Elle a entendu parler de la méthode au cours d’une séance de QI Qong par une personne qui avait fait un stage et lui a conseillé d’essayer.
Elle suit depuis plusieurs années des cours qui contribuent à son hygiène de vie et lui permettent de se sentir en possession d'elle même.
Jeune de 24 ans, fraîchement diplômé d’un métier du paramédical. Se retrouve dans la vie active, dans la rencontre avec la réalité des patients.
A besoin de passer par une expérience vécue de son corps propre, de vivre son corps de l’intérieur.
A envie d'expérimenter la sensorimotricité pour mieux comprendre ce qui est de l’ordre du fonctionnement universel et ce qui est si singulier chez chacun d’entre nous.
Ressent le besoin de trouver ses propres ressources, ses propres repères pour savoir mieux se positionner face à l’autre et se représenter ce que l’autre vit, perçoit, agit.
A expérimenté pendant ses études et a lu des articles dans des revues professionnelles sur cette approche et l’explore avec bénéfice.
Adulte de 55ans, femme, avec des douleurs chroniques de dos, d’épaule. Le corps devient encombrant, une limite. L’envie de mieux se comprendre dans son fonctionnement pour continuer à vivre au plus près de ses envies.
Besoin de se poser, de se mettre à l’écoute de soi, de chercher d’autres voies pour continuer à bouger, pour améliorer la gestuelle au quotidien.
Sentiment d’avoir épuisé les voies classiques de la rééducation , y a recours plus ponctuellement., a trouvé des ressources en elle. Plus autonome, sait comment s'organiser et quoi faire en période d'exacerbation.
Constate que les cours lui permettent de se sentir mieux, qu’il n’y a pas à forcer, que la douleur peu à peu s’amenuise et que des gestes, des actions du quotidien devenues impossibles redeviennent possibles.